Qu’est-ce que votre unicité?
Pourquoi priver le monde, à commencer par vous-même, de votre « saveur » unique, de votre « signature énergétique »? Pourquoi priver le monde, à commencer par vous-même, de votre beauté? Par Josyane Bissonnette
Pourquoi priver le monde, à commencer par vous-même, de votre « saveur » unique, de votre « signature énergétique »? Pourquoi priver le monde, à commencer par vous-même, de votre beauté? Par Josyane Bissonnette
Mais lorsque je me réveille le matin, avec ce vertige qui peut parfois venir me visiter, je me souviens que j’ai toujours le choix. Je peux choisir, à chaque instant, de laisser la vie couler à travers moi, en me reconnectant à mon coeur. Du coup, tout devient plus doux. Et c’est cette douceur que je vous partage, à l’instant même, en écrivant ces mots. ♥ Par Josyane Bissonnette
Lorsque l’on accueille quelqu’un ou quelque chose, on peut tout de suite ressentir de la douceur et de l’ouverture, tandis que lorsque l’on « accepte » une situation, quelqu’un ou quelque chose, il peut y avoir une portion de résignation, qui rime parfois avec « je n’ai pas le choix d’accepter la situation »… Par Josyane Bissonnette
J’ai envie de vulgariser les choses pour vous, de les rendre accessibles afin de vous permettre de reconnecter avec la légèreté, la paix et avec l’intégrité de tout ce qui vous fait réellement vibrer. Par Josyane Bissonnette
Oui, j’ai envie de vous partager que la vie est vivante et vibrante, lorsque l’on se reconnecte au cœur de soi, à la vie, à la vérité et à l’amour. Mais ce n’est pas toujours évident de le faire, je vous l’accorde. Pourtant… Il n’y a que ça de vrai!
Être doux et douce envers soi
Aujourd’hui, j’ai pris conscience que lorsque je me terrais, je ne prenais pas nécessairement soin de moi, j’étais plutôt en mode « culpabilité » ou « impuissance ». Je « décrochais »… Et décrocher, c’est lâcher-prise, ça ressemble à une davantage à de l’abdication que de l’accueil…
Le Pouvoir de la vulnérabilité
Je refaisais un tour sur mon blogue hier et j’ai relu cet article que j’ai écrit il y a déjà 5 ans, qui fait allusion à une expérience que j’avais vécu 7 ans plus tôt, lorsque je commençais à flirter avec la vulnérabilité, il y a donc… 12 ans! Comme le temps passe vite!
On a toujours le choix
Il me semble que j’irais boire une Weissbier dans un beer garden au soleil, à Munich ou encore marcher sur le bord du Lac Léman, à Vevey… Qui vient avec moi? 😀 Mais bon, j’accueille tout! Alors je vais respirer dehors sur ma terrasse, tout en buvant une bière allemande, en prenant le temps de faire un petit bilan.
Quand le coeur nous guide dans des zones inconnues
Arrivées sur place, nous sommes complètement dépaysées. Que ce soit par la musique qui est diffusée à l’extérieur dès notre arrivée à l’aéroport de Tunis, jusqu’à l’odeur qui flotte dans l’air, le climat, et bien sûr l’architecture environnante. Un chauffeur vient nous chercher, il parle peu, et nous n’avons aucune idée du chemin à emprunter pour nous rendre à notre hôtel, alors nous sommes bien sûr un peu nerveuses.
La pause
Il paraitrait qu’il serait possible de se sentir constamment en « état de pause » intérieurement, si on est toujours connecté à son cœur et en qualité de présence en tout temps, et ce, malgré le brouhaha qui peut exister autour de nous. Bon, je ne suis pas rendue là, mais je me pratique, ce qui fait que c’est de plus en plus facile et que ça commence tranquillement à s’intégrer!
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