Je veux tout, et c’est exactement pour cette raison que j’ai créé ce blogue. Je l’ai fait pour que toi aussi, oui TOI, tu saches que TOUT est possible. Si tu es une fidèle lectrice, tu auras sans doute déjà deviné que « je veux tout » n’est pas interprété ici en terme de matérialisme, de performance ou de course contre la montre. #reallynot. Il s’agit plutôt d’une invitation à fracasser nos limites!
En fait, « Je veux tout » c’est une culture, c’est faire le choix d’adopter un nouveau mode de vie qui consiste à oser te construire une vie autour de ton bien-être ou de ton idéal (le vrai, celui qui dort au fond de tes trippes là…). C’est super facile? #not. Mais ça se fait, j’en suis la preuve vivante.
Vois-tu, c’est qu’il ne faut jamais oublier que la vie est comme un balancier : les deux pôles (le négatif et le positif) sont constamment présents. Donc, la première force à développer si tu fais partie de ceux ou celles qui souhaitent être créateurs de leur vie, c’est définitivement la résilience. Jane Wurwand, une entrepreneure multimillionnaire le précise dans une entrevue qu’elle a accordé au Huffingtonpost : « L’élément le plus important est de se demander si c’est quelque chose que vous voulez vraiment, quelque chose dont vous avez vraiment, vraiment envie. Vous devez être prêts à endurer l’opposition, le rejet et l’échec. » En effet, ça prend du courage d’oser croire que tout est possible… La vérité, c’est que j’ai perdu quelques amis de longue date parce qu’ils trouvaient que j’étais rendue « weird ». C’est vrai que je ne « fitte plus dans le moule ». Mais la bonne nouvelle, c’est que je me suis fait depuis plusieurs nouveaux amis avec qui je vibre très très fort. En bout de ligne, mes relations sont maintenant beaucoup plus significatives et nourrissantes. Pour moi, c’est aujourd’hui tout ce qui compte.
Je veux aimer
Il y a six ans et quelques poussières, j’accumulais les histoires amoureuses désastreuses. Non pas que je ne souhaitais pas vraiment rencontrer l’amour, mais j’étais un peu à l’image de Anna dans La reine des neiges. J’idéalisais les Hans sans même les connaitre et je finissais souvent laissée pour compte dans une pièce glacée… Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi j’étais incapable de rencontrer le bon gars. Maintenant, je sais que c’est parce que je leur donnais mon pouvoir.
Puis heureusement, un jour j’ai compris que je devais m’aimer assez pour choisir de reprendre mon propre pouvoir et oser être moi-même dans une future relation. Surtout, je devais admettre que ce que je voulais vraiment vraiment, c’était de m’engager pleinement, ouvrir tout grand mon coeur et construire une vraie famille (j’étais monoparentale à l’époque).
Suite à cette décision, j’ai rencontré deux gars qui ont rapidement pris leurs jambes à leur cou et se sont enfuis en courant. J’ai donc vécu du rejet. J’ai pleuré, douté et me suis remise en question. J’avoue que c’était beaucoup plus facile de jouer la « vamp » indépendante. Mais ce n’était pas la vraie moi, et j’avais pris la décision de ne plus me laisser tomber. Alors je me suis relevée, et j’ai continué de me positionner clairement face à mes intentions.
Puis, il est arrivé par hasard, et nous nous aimons depuis six ans maintenant. Est-ce que c’est toujours facile depuis? #not. Nous avons nos hauts et nos bas (encore une fois, positif vs négatif). Mais pour la première fois, je suis restée moi-même dans cette relation et je continue d’y travailler à tous les jours. À tous les jours je réitère mon engagement envers ce que je souhaite partager dans ma relation amoureuse, et à tous les jours j’agis en cohérence avec qui je suis et ce que je veux créer. Et ça marche, puisque contre vents et marées, on s’aime et on est heureux tous les deux.
Je veux partager
Ahhh la familia! Je les aime tellement <3 . Partager fait partie de mes valeurs primaires sauf qu’ici, je ne parle pas seulement de partager dans le sens de donner, mais plutôt de partager mon bien-être aux gens qui m’entourent. Ça, c’est ce que je veux vraiment vraiment. Tu dois te demander ce que ça veut dire quoi pour moi? Eh bien ça veut dire offrir une qualité de présence significative aux gens que j’aime. Et même à ceux que je connais moins. Parce que sincèrement, j’aimerais qu’on fasse partie d’un monde meilleur. Alors je fais comme a dit Gandhi : Sois le changement que tu veux voir dans le monde… C’est beau hein? Mais est-ce que c’est facile? #not. Encore une fois, c’est un engagement que j’ai pris envers moi-même, c’est-à-dire que j’ai décidé consciemment de prendre soins de moi assez pour être bien et disponible dans le moment présent.
Concrètement, ça me demande de respirer et de me ramener à tous les instants, de prendre responsabilité sur ce que je crée, d’être dans l’humilité et dans le service aux autres. J’y travaille aussi à tous les jours, parce que c’est ce que j’ai choisis de créer dans ma vie. Je trouve personnellement que lorsqu’on construit de vraies relations, des « relations de coeur », c’est ce qui fait toute la beauté et qui donne du sens à la vie. À ma vie.
Je veux créer
Dernièrement, je suis tombée par hasard sur un article de La Presse + qui relatait le discours du Prix Nobel de la paix, M. Muhammad Yunus, qui a lançait aux participants du dernier C2 Montréal : Un emploi, c’est la fin de la créativité (…) Le pire qui puisse arriver à un cerveau plein d’idées, c’est d’être embauché. Ça m’a plu, parce que c’est exactement la raison pour laquelle j’ai décidé de quitter ma « job stable » il y a trois ans pour devenir travailleur autonome. Lorsque j’étais salariée, j’avais la nette impression d’être en train de m’éteindre. Pire, de mourir à petit feu.
Depuis trois ans, je crée sans arrêt. Ma tête fourmille d’idées et je peux te dire que je n’ai jamais autant travaillé et appris en même temps de toute ma vie. La bonne nouvelle, c’est que ça a eu pour moi un effet d’entonnoir. Plus le temps a passé, plus ma mission de vie s’est raffinée. Et aujourd’hui, je peux te dire qu’elle est claire comme de l’eau de roche : je souhaite contribuer à l’épanouissement du nombre le plus élevé d’êtres humains sur la planète entière. Et c’est ce que je fais concrètement aujourd’hui (en rédigeant ce billet, entre autres), puis avec mon arme secrète qui est le Profil NOVA. Si tu n’as jamais fait faire ton profil, il manque quelque chose à ta vie. Et je ne dis pas ça pour que tu m’appelles pour prendre rendez-vous. Je crois juste sincèrement que c’est l’outil le plus puissant pour se connaitre vraiment et savoir comment s’épanouir profondément, c’est tout.
Et, comme pour tous les autres volets, je me suis dit : Ok Josyane, tu souhaites contribuer à l’épanouissement du plus grand nombre de personnes possible sur la planète, mais toi, concrètement, comment tu veux faire ça? Qu’est-ce que tu veux vraiment, vraiment? La réponse était d’abord floue. Lorsque j’étais petite, j’avais toujours l’image en tête de moi plus vieille, habillée de façon classique et professionnelle, qui se promène partout avec sa mallette, telle une femme d’affaire. J’ai donc déterré cette vieille vision pour comprendre que ce que je souhaitais, c’était faire un jour de la gestion, puis des formations et de la consultation sur la route. Aujourd’hui, je gère ce blogue, je fais des consultations individuelles et en entreprise, et je donne des certifications aux gestionnaires, leaders et consultants qui souhaitent utiliser le Profil NOVA dans leur business. Puis, j’ai appris hier qu’en septembre je vais donner une certification en Algérie. #jemepince.
Là je le sais, tu te dis : Pis le pôle négatif dans tout ça ma péteuse de broue? Hein? C’est quoi!? Bon. Je ne passerai pas par quatre chemins, et je ne te raconterai pas de menteries non plus : C’EST FU$%?&ING TOUGH OK? Créer sa job sur mesure, ça demande du courage, parce que des nuits blanches à te demander ce qui t’a pris de foutre en l’air ta stabilité financière, tu vas en avoir. D’autres fois, tu vas consulter les sites comme Jobboom.com en te rongeant les ongles à te chercher un revenu fixe, tout en ayant mal au coeur à l’idée de penser retourner travailler pour quelqu’un d’autre que toi, pour finalement laisser tomber en te relevant les manches parce que tu as décidé de choisir d’être à ton compte, coûte que coûte. Pis cinq minutes après, tu vas penser à tes enfants pis à ton chum en te disant que tu es une nuisance pour l’équilibre financier de la famille, tu vas culpabiliser sans bon sens, pour ensuite te souvenir que dans ta « job stable » t’étais en train de mourir. Pis ce que tu veux, c’est être vivante et un modèle pour tes filles.
PIS ÇA, c’est sans compter les fois où tu vas t’emballer pour un projet qui va mourir dans l’oeuf, travailler bénévolement sur ton blogue qui ne te rapporte aucune cenne noire, être déçue par des collaborations que tu croyais successful, pour t’apercevoir que tu tournes en rond et que rien n’abouti comme tu veux. Pis là le temps passe et les vieux amis te trouvent intense. Pis tu doutes. MAIS, tout ça s’efface quand un bon lundi matin tu te lèves, tu te fais un bon déjeuner que tu vas prendre sur ta terrasse au soleil, que tu t’entraines, tu médites, pour finalement commencer à travailler sur tes projets à 10h le matin parce que c’est toi qui gère ton horaire. Pis là tu penses à ceux qui ont sacré un coup de poing sur leur cadran le matin en se levant pour aller faire une job stable qu’ils détestent. C’est là que tu te dis que finalement, tu as pris la bonne décision, ou encore lorsque tu réalises que tu fais maintenant ce que tu aimes vraiment vraiment, pis que ça commence à être payant. Voilà, c’est dit. #résilience101
Je veux m’énergiser
L’énergie, c’est l’une de mes valeurs les plus importantes. À ce sujet, je suis tombée un jour sur une photo qui m’a grandement inspirée à me botter les fesses. La voici :
Traduction : « Ne décide pas de te mettre en forme juste pour être en forme. Entraîne-toi pour avoir toute l’énergie que ça prend pour changer le monde ». Tout est dit. Tu as probablement déjà deviné que pour te gérer toi-même, ta vie, ta famille et tous tes beaux projets, ça prend déjà de l’énergie. Quand tu décides en plus de contribuer à l’épanouissement du nombre le plus élevé d’êtres humains sur la planète entière, ça t’en prend encore plus! Et là je spécifie : il ne s’agit pas seulement de s’entrainer physiquement, mais mentalement aussi. Prendre le temps de respirer, méditer, se déposer, décrocher et bien s’alimenter ça fait aussi partie de la game. Sans parler de te dépasser (voir plus bas).
Depuis quelques mois, j’ai fait un virage bio à la maison. À chaque semaine, je reçois mon panier du Jardins des Anges. C’est merveilleux. Moi j’adore ça. Je n’ai plus d’épicerie à faire, elle est livrée à ma porte. Donc, en plus de manger sainement, je sauve du temps et j’encourage les cultivateurs locaux. Puis, je me pratique régulièrement à respirer, méditer (souvent le soir avant de me coucher dans mon cas), et pour ce qui est de l’entrainement, je l’avoue, c’est ma bête noire… Je ne fais pas partie de celles qui aiment s’entrainer. Mais j’apprivoise cette nouvelle habitude tranquillement. Alors je m’entraine maintenant en montagnes russe. Parfois régulièrement et assidûment, parfois je décroche complètement. Mais je te le dis, je n’ai pas dit mon dernier mot, parce que c’est FOU comme mon énergie est BEAUCOUP plus présente quand je m’entraine… Le truc que j’ai trouvé qui me convient, c’est les DVD de Beachbody que je fais à la maison. Sortir pis me rendre au gym, c’est trop d’étapes pour moi. J’ai trop de risques de lâcher en chemin. Je suis du style à préférer arrêter à la bibliothèque en cours de route, pis si je trouve un bon livre, je suis dans la merde, genre. C’est bon pour mon cognitif mais pas tellement pour mon popotin et mon énergie physique. Trève de plaisanteries, le DVD que j’aime particulièrement le 21 days Fix. Au moins j’ai pas le goût de le garocher par la fenêtre. Enfin, pas encore. À suivre!
Je veux me dépasser
Ah ça, ÇA, c’est le coeur de ma vie. Pour moi, ce volet englobe tous les autres. C’est ça, fracasser nos limites. C’est croire que tout est possible et avoir le courage de modifier nos croyances limitantes, se relever les manches et aller à la rencontre de notre destinée, de notre vrai nous-mêmes. ÇA FOUT LA CHIENNE. Comme dirait mon père : C’est le chemin le plus dur ma fille, mais c’est le chemin le plus beau! God qu’il a raison.
Ça revient à mon balancier. Plus tu vas loin dans le positif, plus tu dois apprendre à gérer du gros négatif. C’est de la libération. Quand tu choisis d’être 100% responsable de ta vie, de la créer comme tu le rêves et que tu as le courage de te mettre en action, tu apprends la résilience et la gestion émotive. Parce que des émotions négatives, tu vas en vivre autant que des positives. Mais dans mon livre à moi, c’est ce que j’appelle LA VIE. C’est ça, être vivant, se sentir vivant.
La bonne nouvelle, c’est que plus le temps passe, plus tu deviens habile dans la gestion de tes émotions. NE TE LEURRES PAS. Tu vas continuer d’en vivre encore et encore des émotions plates, c’est juste que tu vas moins capoter avec ça, tu vas les accueillir plus doucement bref, tu vas moins dramatiser avec le temps. Tu vas apprendre la résilience. Mais le contrôle sur ce qui est à l’extérieur de toi, tu ne l’auras jamais, c’est pourquoi il est tout aussi indispensable de t’entrainer à la résilience, tu piges?
Personnellement, l’approche qui me convient le plus côté gestion de la bouette qui te tombe dessus quand tout allait pourtant ben, c’est l’hypnose. Ça m’aide vraiment. Il suffit que tu trouves ce qui te convient à toi. Mais je veux juste te dire une chose : lâche pas. Je sais -oh combien je sais- le courage que ça te prend. C’est le chemin le plus dur, mais c’est le chemin le plus beau. Ne l’oublie jamais.
Je veux rayonner
Bon. On est pas tant dans l’esthétique ici que dans je veux être bien dans ma peau. On s’entend tous pour dire que quelqu’un d’heureux, qu’il ait des rides ou pas de rides, vieux ou jeune, roulé ou pas, peu importe le poids, transpire le bonheur? C’est ça le point. Dernièrement, une belle fille (qui a choisi à peu près les mêmes but que moi dans la vie) disait dans l’une de ses vidéos qu’elle était un peu écoeurée de se faire traiter de superficielle juste parce qu’elle paraît bien. Elle a clairement dit : « Une fleur, c’est magnifique non? La nature est magnifique! Pourquoi je devrais me sentir coupable d’oser me sentir magnifique? » J’ai aimé ça. C’est vrai, quand on se sent moche, on ne se sent pas épanouis pantoute. Pourquoi ne pas oser notre beauté?
Lorsqu’on se sent bien dans notre peau, beaux et belles, on rayonne, un point c’est tout. Et du bien-être, ça nous en prend tellement dans notre monde, alors pourquoi ne pas oser notre beauté, je te le répète. La beauté est aussi dans l’acceptation de soi… Penses-y!
Ah oui, j’oubliais… Le pôle négatif dans tout ça. Eh bien je ne m’attarderai pas trop sur le sujet, MAIS j’ai quand même un exemple béton pour toi pour illustrer ce que je te dis depuis le début. T’es prête?
L’autre jour, je devais aller faire une petite conférence devant une trentaine de personne puis, j’avais un MÉGA feu sauvage dégueulasse sur la bouche. Bon, ça fait ch%?$. MAIS, est-ce que je choisis de donner mon pouvoir à mon feu sauvage dégueulasse (je me sens moche, dégueu, j’ai honte et j’ai envie de me cacher dix pieds sous terre) OU je reprend mon pouvoir et je fais confiance à toute la beauté qui m’habite (je ne laisse pas mon feu sauvage m’intimider, je me redresse, je me fais confiance et j’utilise l’exemple de mon feu sauvage LIVE à la conférence pour illustrer une théorie que j’explique)? OUI, j’ai choisi la deuxième option, j’ai des témoins! Lol.
Alors rayonne, svp, peu importe ce que tu as physiquement l’air et si tu as envie d’être magnifique, lâche-toi lousse!
Fracasser nos limites
En gros, c’est ça « Je veux tout », puis comme la vie est en continuelle évolution, j’ai eu envie d’ajouter deux nouveaux volets au blogue… Puis aussi parce que je m’apprête à fracasser d’autres de mes limites. Pourquoi ne pas explorer encore plus loin? Oui Madame! Surveille bien les nouveautés du mois de septembre prochain…
En attendant, tout ce que j’aimerais sincèrement que tu retiennes c’est que plus mon bien-être grandit parce que je sens vraiment que TOUT est possible et que tout se concrétise pour moi, plus je te souhaite la même chose. Et si ça marche pour moi, c’est certain que ça marche pour toi aussi. Est-ce que c’est facile? #not MAIS EST-CE QUE C’EST POSSIBLE? OUIIIII! Ça, je te le garantis. C’est sincèrement ce que je te souhaite, sauf que je ne peux pas le faire à ta place. Mais je suis certaine que tu as tout ce dont tu as besoin pour y arriver en toi. Allez, pars toi aussi à découverte de ton toi-même, tu risques d’être surpris par toute ta grandeur (pis ta laideur aussi, j’ai été honnête! 😉 )
C’est sincèrement pour t’inspirer à l’action ET t’aider à gérer le négatif que j’ai créé ce blogue. Dis-moi que ça t’aide un peu? Tu vas faire ma journée!
À bientôt,
Par Josyane Bissonnette, fondatrice
L’idée du concept de « Je veux tout » est née le jour où j’ai compris que…je voulais TOUT! Et surtout que c’était possible de se créer une vie à son image qui goûte bon, sent bon et respire la beauté.
Consultante et formatrice en Profil NOVA, j’aide les personnes et les entreprises à mieux se connaitre, mieux communiquer et à s’aligner à leurs valeurs et motivations afin de passer à l’action en cohérence avec leur identité. Fermement engagée à explorer et nourrir mon idéal de vie, je crée, je lis, j’écris, je ris, je cuisine et j’adore voyager. Adepte de la vérité, j’aime la profondeur et l’authenticité tout en aimant m’amuser, dédramatiser, vulgariser et simplifier.
Merci!
Plaisir Frank!
Tse quand tu te réveille un matin en pensant à ta how ton boulot ton reve ton but et tu te dis : « quand aurais je le guts de faire un move et te vivre ma vie » et tu tombe sur ce texte… Merci la vie, merci Josyanne
Marie-Josée, tu fais ma journée! 😉
Merci à toi d’avoir pris le temps de m’écrire ce précieux commentaire! Vas-y, fonce vers tes rêves! 🙂